Au XVe siècle, le vilebrequin à pomme figure dans plusieurs iconographies. Dans l'Annonciation du Maître de Flémalle, il a une forme de « C » peu ouverte, propice à des percements très spécifiques. Plus léger et plus mobile, il n'exige pas uniquement un travail à l'horizontal. Il permet de réaliser des trous circulaires, par le biais d'une force plus grande permettant de faire un trou qui soit plus profond et large.

Les premiers vilebrequins sont entièrement en bois. Ce n'est qu'à la fin du XVIe siècle que les vilebrequins en fer forgé se développent. Leur commerce se répand au XVIIIe siècle.